Débute le montage
de l'embiellage. Celui ci n'est pas compliqué, mais très petit. Je dirais que
c'est la limite acceptable pour les yeux, loupe ou binoculaire sont
indispensables pour ce travail.
Préparation
des pièces, un bon ébavurage est nécessaire, ainsi que la reprise des perçages.
Les rivets
sont tellement petits qu'il est vraiment difficile de les mettre en place et parfois
sautent de la pince. Heureusement qu'ils sont en acier et de ce fait plus
facile à retrouver avec un aimant. Il vaut mieux travailler dans une boite avec
des bords un peu hauts. Ne pas s'énerver, prendre son temps.
Et avec un
peut de persévérance, voila le travail, tout est bien mobile, le rivetage se
fait très facilement avec un tout petit pointeau.
Ajustage de
la glissière de crosse de piston, de mauvaise vis on été fournies, 1.4 mm au
lieu de 1.2 mm, heureusement que j'ai un peu de stock dans mon atelier.
Je me rends
compte que les artisans Allemand ont les mêmes lacunes que les Français, notice
pas claire et mal photocopiée, livraison de pièces pas bonne, par contre la
précision du kit est au rendez vous, perçages au bon diamètre, quasiment pas
d'ébavurage, fonderies précises et belles.
Tout est
tellement précis que ça se met en place tout seul malgré la petitesse des
organes. Les manetons son rentré de force dans une bague en matière plastique,
c'est un petit moment délicat, car ça ne veut pas y aller facilement. Quelques
petits coups de marteau d'horloger et tout rentre dans l'ordre.
Premier essai
à vide. Une vraie petite horloge pas un point dur que du bonheur.
La chaudière
a pris quelques couleurs.
Elle a pris ça place définitive, les pièces de
détaillages sont en place.
Le charbon
est à bord, et voici notre petite Plettenberg en ligne dans son futur
environnement. Le toit est juste posé, la machine est digitalisée avec un petit
décodeur Kuehn N25
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire